Les photographes et vidéastes présents ont eu du mal à prendre des images et plusieurs se seraient fait casser leur matériel ou courser par les forces de l'ordre qui y mettaient apparemment un point d'honneur.
Un CRS a essayé de m'incruster mon appareil photo dans la boite cranienne alors que je tentais de prendre en photo une de leurs premières prises agenouillée et menottée...
Un des djs s'est fait suivre un bon moment, puis s'est fait braquer avec un flingue (cet épisode est a ajouter aux coups de matraque qu'il a ramassé durant la manif alors qu'il essayait de séparer les belligérants...
et sa copine tabasser par un policier de la BAC, dans une ruelle adjacente, car il avait eu le malheur d'insulter ce dernier...
Reçu par mail: "[...]C'est le rêve un son posé en plein centre ville en plein après-midi. CT bizzare.
[...] On revient 2-3 heures après, il y avait toujours du son et il y avait une voiture avec des civils qui se sont mis en plein milieu du monde et c'est parti ça gaze et ça tire au flashball on aurait dit un champ de bataille, un mec s'est écroulé devant moi paralysé par une balle de flash dans le dos puis je me casse[...]" .
L'auteur du mail veut garder l'anonymat
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